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Daniel Lavoie

Docteur Tendresse, son nouvel album

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10 décembre 2007

Je m'appelle Tania, j'ai 18 ans et je vous envoie ce mail de Belgique. Je suis tout à fait d'accord avec le fait que les médias se trompent, en effet, ce que fait Daniel est merveilleux. Je ne le connaissait que par "notre dame de Paris" et sa voix m'intriguant je voulus savoir ce qu'il faisait d'autre. C'est alors que je découvris 'Docteur tendresse'. Le lendemain j'allais acheter l'album, je trouve ses textes pleins d'émotions et de vérité frappante et si bien construits. j'ai été séduite dès la première écoute. J'espère d'ailleurs le voir en concert si il ne vient pas trop loin de chez nous.

Tania M.
20 juin 2007

"Les amoureux du pont de fer"

Le thème de l'album Dr Tendresse est 'Sauvez le monde'
de tous ces aspects. Dans la chanson "Les amoureux du
pont de fer" on trouve les problèmes de pollution,
les nuisances sonores, une civilisation indifférente
aux pauvres, aux déshérités et aux jeunes amoureux. Le
consumérisme est une barbarie, une maladie de notre
époque.
Le premier couplet décrit une scène banale, un café
qui joue la musique de fond de Satie, mais Daniel
chante les mots avec une voix rauque et exagérément
méticuleuse. La musique est enjouée presque tout le
temps. Les amoureux marchent à l'envers, une jolie
fille cherche une évasion, un antidote contre la
civilisation, des millions de tonnes d'acier roulent,
la grosse ville gronde, les rues débordent, "sonnez
les cloches, les barbares sont proches." C'est nous
qui sommes les barbares. Mais, ironiquement, le soleil
donne sa lumière gratuitement. En même temps de ces
horribles perspectives d'avenir, la musique et la voix
deviennent calmes et douces.
C'est vraiment une chanson d'ironie et de contrastes,
la musique, les couplets et la voix se bousculent.
Mais, pour une raison, on sent que le monde n'est pas
perdu, les amoureux seront toujours là.

Jean J.
18 mai 2007

Voilà mon impression après avoir écouté l'album de Daniel je peux dire que c'est un grand moment de poésie et la musique (superbe aussi) !!!
Je le réécoute demain !
Pratiquement tous les textes sont magnifiques ! un petit bijou concernant la
plupart des chansons (sujets difficiles pourtant......) j'ai bien aimé..... "la voilà notre armée, sous les cèdres, les chats attendent à la porte, cette journée m'attend, la liberté, nous passons sur la mer, la naïade, z'avez des bonbons, les amoureux du pont de fer ... " et les marchands artistes - du grand art avec une grande lucidité sur ce monde -
Un bijou quoi !!!! Bravo !!!!

Colette
25 avril 2007

La prescription du Docteur Tendresse :

Est-ce la potion magique ? Non !
Plutôt une drogue douce à consommer sans risque d’effets secondaire (peut-être un doux bien être…..) bénéfique pour tous.

Daniel avec ses mots à Lui nous parle de notre belle planète, malade ! Avec gravité beaucoup d’humour, mais aussi avec plein de tendresse, en espérant qu’ensemble nous trouverons la solution pour que notre belle terre garde toute sa magie.

Pour cela il faut souvent écouter cet album exceptionnel

Longue vie à notre Docteur.

Bravo Daniel, au fils des années tu ne nous déçois jamais.

Henriette
20 avril 2007

Voilà un moment que nous avons suivi sans hésitation l'ordonnance de Daniel et consommé sans modération ses pilules-bonbons, petits berlingots multicolores qui laissent sur la langue tantôt un petit goût acidulé, tantôt une douceur sucrée. Et quel bien-être quand les saveurs se mêlent, sa médecine libère alors pleinement toutes ses vertus.  Déjà nous sommes en accoutumance mais sans jamais friser l'overdose car il s'agit bien de "médecine douce" qui laisse au palais comme un petit arrière-goût de bonheur.

Merci à Daniel, nous n'en attendions pas moins de lui ....et lui avons d'ailleurs enfilé  la blouse du bon "Docteur Tendresse",  ce qui va l'obliger à nous distiller encore longtemps sa musique-médecine.... car il est évidemment fortement déconseillé d'abandonner trop brusquement le traitement !

Succès et longue vie à l'album, c'est une vraie pilule de tendresse !

Eliane
5 avril 2007

Le nouvel Album de Daniel Lavoie, je l’ai senti ainsi :

Docteur, sauvez le monde en manque de tendresse…

Daniel Lavoie revient d’un voyage pas comme les autres. Il l’a fait par défi, fatalité du destin, désir et plaisir. Si l’on s’ouvre à la lecture sensorielle de ses mélodies et paroles, on s’aperçoit qu’il revient de très loin, et comme un grand explorateur, il est content de poser ses bagages -  recueils de ce voyage philosophique - dans le temps d’une humanité. Un temps qui, à son gré, lui a renseigné, instruit, flirté, secoué, taquiné, puisqu’il était soumis et en otage - soumis puisqu’il voulait sentir, voir et vivre le mal-être de la Terre et de l’homme - en otage, puisqu’il ne pouvait pas se défendre ni savoir tout ce qu’impliquait la leçon et l’impact du voyage. De plus, il n’était pas comme Ulysse, juste un homme en visite clairvoyante et pragmatique à la Terre des Hommes.

L’on retrouve depuis le début de sa carrière la triade indissociable : Terre – Nature – Homme. Il ne cesse pas de clamer contre la violence et la douleur qu’on leur impose. Qui donc mieux pour soigner les « bobos » de Mère-Terre et de l’humanité, qu’un docteur-tendresse ? Il lui fait appel et lui demande la plus efficace  prophylaxie pour eux et leur essence, la tendresse, cet élément intrinsèque de l’amour dérivé de la compassion. Une compassion perdue puisque la douleur et la mort sont devenues trop banales pour une espèce différenciée des autres, justement, par les sentiments et de l’esprit. Mais, dans un monde où il n’a plus d’écoute, les cris des fourmis et des hommes se confondent et se perdent dans les jardins des fleurs fanées. Fatalement, il n’y a pas non plus d’ouïe ni pour la terre ni pour la nature.

Mais, voilà, mais voilà notre puissante, performante et hyper sophistiquée armée, dépourvue des moyens pour se défendre de la fureur de Mère-Nature. L’Hera se métamorphose en triviale prison, où l’homme est dans un bateau qui tangue une valse d’éternité pérenne, sur des eaux troubles dont les vagues effacent vite son passage, et la douleur d’être oublié. Cet homme qui pensait mener la danse, ne retrouve plus ses pieds face aux éléments qui se déchaînent et la nature ivre ou folle.
Les îles paradisiaques du Pacifique sont devenues de dangereux pièges pour ceux en quête de bien-être. La nature les surprend et les transforme en poussière moissonnant leurs vies les ramenant aux éléments constitutifs et primitifs de la genèse.

Une goutte qui tombe dans un océan, c’est aussi l’image de l’homme. Et regardant son parcours dans un passé – futur – ou présent récent – il est dilué comme un filet d’huile sur un arc-en-ciel sans pluie.

Le cercle se ferme. Les cycles se suivent. Les portes se ferment. Et même, ou surtout, les vieux ayant compris l’enjeu social et politique, par instinct de survie n’ouvrent plus leurs portes ni à leurs chats… puisque la méfiance est le mot d’ordre, triple tour pour triple peur : du monde de la mort et de sa propre espèce.

Malgré tout, cet homme succombe toujours au charme de la Naïade, et plonge volontiers dans la noyade d’une journée éphémère d’un soleil-rencontre-tendresse.

Mais, Daniel parle aussi de l’espoir, puisque revient à l’homme changer la donne. D’autant plus que le soleil revient toujours après une nuit noire. Et il aura, toujours, quelqu’un qui ouvrira, sûrement, une porte aux chats et au bonheur.

Puis, l’enfant qui ne veux plus que des bonbons… a grandit et cherche l’enfance et l’insouciance dans les paquets de sucreries ... ou dans les croissants… ou des gâteaux…le même, qui sur l’étreinte d’un baiser passionné, traverse le pont pour le paradis… sous les regards indifférents ou stériles de ceux qui ne croient plus à l’amour.

Tout cela, sans oublier que le chagrin n’est que le bonheur qui se repose (Léo Ferré).

Maria Creuza de Sousa

En savoir plus sur Maria.

5 avril 2007
Ahhh docteur Tendresse !!

Quelquefois, je suis prise d'un grand doute ... Peut-être que je n'aime plus les chansons de Daniel ??
Si, si !! En fait, on ne me croira peut-être pas, mais je n'écoute pas beaucoup de musique ...

Et pourtant quand le besoin se fait sentir d'écouter un album de Daniel, le miracle opère à chaque fois ... La musique et la voix me transporte, et me fait toujours autant de bien ...

Je n'ai pas attendu cet album pour penser depuis longtemps déjà, que Daniel était un véritable 'Docteur' pour l'âme et le coeur!!!

Ce dernier album est vraiment superbe.

Dans certains anciens albums, il m'arrivait de sauter une ou deux chansons, mais dans celui-ci je les aime vraiment toutes beaucoup et je n'en passe aucune ... Bien sûr j'ai des petites préférences pour 'Cette journée m'attend', 'les amoureux du pont de fer' et 'Nous passons sur la mer' par exemple et puis j'adore vraiment beaucoup 'La Naïade', la musique est trop merveilleuse !...

Toutes ces chansons nous font réfléchir, mais nous apporte aussi l'espoir et le bonheur ...

J'encourage tout le monde à se procurer ce merveilleux album, un doux remède aux petits et grands maux de la vie ... Pas un amer comprimé!... non !... mais une pastille très douce : un bonbon !!!!!

Alors, encore une fois merci Daniel pour ces magnifiques chansons, pour ta voix et pour ta musique qui guérit de presque tout, qui réconforte et qui rassure ... Même si tu t'en défends, tu es notre Docteur Tendresse !...
Anne-Marie

4 avril 2007

 

Voilà !!  Le dernier album de Daniel est arrivé.
Magnifique, comme toujours.
Et même si j'ai adoré le précédent " Comédies Humaines ",
c'est un vrai bonheur de retrouver " son " écriture.

Alors, faire un commentaire de l'album .... ou choisir une chanson ?!

Le choix est difficile, mais il s'est porté sur " Z'avez des bonbons ".

Après avoir entendu cette merveille qu'est " la Naïade ", j'ai flashé
tout de suite sur la seconde de l'album : " z'avez des bonbons ".

Beaucoup de dérision dans cette chanson. Des choses graves y sont dites,
puis arrive une question qui parait légère et amusante ..... Z'avez
des bonbons ......  qui pourtant est délicate et terrible pour ceux qui
y répondent.

J'adore cette chanson, elle interpelle tout en faisant sourire.

Longue vie à cet album.

Michèle

 

 

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